"Au Nain boiteux et Foireux" - La taverne médiévale officielle

-S : "Bonjour , tout le monde !"

-G : "Tien un nouveau ..."

-T : "Bonjour voyageur "

-S : "Je vais passez les presentations vous devez me connaitre ^^"

-T et G : "eu ... non ..."

-S : "Mais si souvenez vous le gr...."

-G : "Le Gras de Poulet !"

-T : "Le Gros Type qui boit que du wiskey pur malt d'Irlande ?"

-S : "A ouais . vous y êtes pas du tout la .. Je suis Spirito , le grand magiciel de Feu qui gardait la forteresse du sang glacés"

-T : "Remarquons qu'un magicien de feu qui garde une forteresse de glace c'est legerement debile"

-G : "Hahahahaha..."

-S : "Sezpitus Aniyotorum Fastedis !"

*Piouf*

-G : "Cuicuicucicuicuicui !!! Cuicui"

-T : "Meuuuuuu Meuuuuhhh meuuuuuuuu !!"

-S : "Vous reprendrez votre apparance quand j'aurais le temps de vider le tonneau de vin !! Santé !"

La porte s'ouvrit et un homme en armes entra. Son armure, de belle facture, aurait certainement étincelé au soleil. Mais là, elle était couverte de poussière, et par endroits de taches brunes qu'on identifiait clairement comme les résidus d'un mélange de boue et de sang séché... L'homme avait du faire une longue et éprouvante route. L'état de son armure, les déchirures de sa tunique et les traits qu'affichait son visage en disaient long !

Il se fraya un passage au milieu des clients, qui le saluèrent au passage d'un hochement de tête respectueux. Il répondit de même, s'efforçant de sourire malgré sa fatigue, et vint s'asseoir à une table libre, non loin de l'âtre où rôtissaient chapons et lièvres. Ses yeux s'arrondirent et il huma l'odeur de la viande grillée en souriant. D'un geste de la main il appela le patron.
- Tavernier ! Qu'on me donne un de ces chapons, du pain, et une pinte de votre meilleure bière.
- Certainement Monseigneur !

Etant donnée sa noble tenue, il était inutile de demander à cet étranger s'il avait de quoi payer. Aussi le tavernier s'appliqua promptement à servir le chevalier.
- D'où venez-vous, monseigneur ? Je ne pense pas vous avoir déjà vu ! lui demanda-t-il en posant la pinte sur la table.
L'homme s'en empara et se désaltéra en fermant les yeux, puis reposa la grosse choppe d'étain en soupirant de plaisir.
- On ne m'avait pas menti ! On sert de l'excellente bière au "Nain boiteux"... Je viens d'Almérie.
Le Tavernier eut d'abord l'air étonné, puis hocha la tête avec un air triste.
- Ah... Je vois... Quel malheur ce qui est arrivé à votre royaume ! Et que venez-vous faire par chez nous ? Si je puis me permettre.
- Je viens rencontrer le Seigneur Rage, à la forteresse des fils de Feanor.
- Ah ! Les fils de Feanor... Mes meilleurs clients ! répondit le tavernier en gloussant. Une noble compagnie que celle là !
- Oui...Une noble compagnie. Aux intérêts communs avec ma propre guilde. C'est pourquoi je viens leur rendre visite.
- Vous même faites partie d'une guilde ?
- Oui, la confrérie des réfugiés d'Alménor.
- Bien sûr ! J'aurais dû deviner... Celle qui a bâti une Commanderie à Tarabat ? Dirigée par le Commandeur Galaan ? On commence à beaucoup parler de lui. Un rude combattant, vainqueur de plusieurs tournois, vaillant et qui est toujours en première ligne quand il mène ses troupes contre les Orcs. De quoi écrire de belles histoires pour nos troubadours !

Le chevalier se contenta de sourire en baissant les yeux sur sa chope. Il la vida ensuite d'un trait et la tendit au tavernier.
- Certainement... Si vous le dites ! Pouvez-vous m'en amener une autre, s'il vous plait ?
- Bien sûr ! Tout de suite ! Et j'envois quelqu'un vous servir votre repas... N'hésitez pas à me faire signe si vous avez besoin de quoi que ce soit d'autre !

Le tavernier tourna les talons et disparut un instant derrière son comptoir. Galaan s'adossa à sa chaise et huma les agréables fumets qui lui parvenaient depuis l'âtre. Son estomac manifesta bruyamment son approbation.
- Je vais me plaire ici, je le sens... C'est bien tenu et les gens sont sympathiques... Par contre, Chris risque de ne pas aimer l'enseigne quand il viendra... Bah ! Une fois qu'il aura goûté à leur bière, il râlera encore un peu pour la forme, comme d'habitude, et puis il se calmera... Amadeus, par contre, viendra sûrement juste pour le plaisir de rire devant l'enseigne !

Une jeune femme le salua et posa sur sa table une miche de pain sortant du four, une large assiette, des couverts, et quelques petits bols de sauce aux parfums et couleurs divers. Puis le tavernier lui apporta une nouvelle pinte de bière et avec l'aide d'un commis, décrocha une broche de la cheminée et lui fit déposer un chapon bien grillé sur la table. Il demanda s'il fallait le découper mais Galaan hocha la tête en riant.
- Non ! Laissez le tout ! Je n'ai pas mangé depuis ce matin... Et en route j'ai eu quelques rencontres, disons, "houleuses" ! Autant dire que j'ai faim comme rarement !
- Très bien... Mais vous ne m'avez toujours pas dit à qui nous avons honneur ?
- Je suis Galaan. Maître de l'ordre des réfugiés d'Alménor, répondit-il en commençant à découper le chapon.
Le tavernier écarquilla les yeux et recula d'un pas.
- Commandeur ! Vous... vous auriez du le dire ! Nous vous aurions alors installé... et servi...
Mais Galaan l'arrêta d'un geste du revers de la main.
- Non, non ! C'est parfait comme ça ! J'aime les choses simples !
- Mais tout de même ! Commandeur, vous...
- Cessez de vous en faire mon ami ! Vous savez, ici je me retrouve Commandeur. Mais en Almérie je n'étais que simple chevalier. Je n'ai pas besoin d'égards particuliers. J'aime votre établissement, j'aime votre bière, et maintenant je suis sûr que je vais aimer vos chapons rôtis !

Galaan décrocha un pilon et mordit dedans à pleine dents. Il entreprit alors de goûter à chacune des sauces proposées et afficha à chacune une moue admirative à l'intention du tavernier. Celui-ci retrouva son sourire, le salua d'une révérence et retourna à son travail. Après les dures aventures de la journée, Galaan entama alors un repas qui, pour simple qu'il était, ne lui en parut pas moins un festin de roi...

Fort d'une motivation retrouvée, Rage poussa la porte de sa taverne préférée. Plein d'entrain il s'avança, serein, vers le comptoir. Ce soir, la taverne avait retrouvée ses allures d'en-temps. L'odeur de chapon, la nouvelle décoration , la nouvelle pancarte (que Guerarteuh avait saccagé suite à une bière de trop ...)... Tout cela lui redonnait du baume au coeur...

Tavernier : Sieur Rage ! ! ! Quel joie de vous revoir. Il y a bien longtemps que mes chaises n'avait plus rencontrées votre royal fessier.

Rage : Mais comment tu me parles toi ?

Tavernier : Enfin j'veux dire... Ca fait un sacré moment qu'on vous attend. Ma taverne était un peu miteuse mais avec votre fort tout proche, j'ai retrouvée une clientèle digne de ce nom. Regardez, j'ai même investi dans un nouveau four en pierre. Je peux y mettre chapons, faisans et cochonailles... Il me tardait que vous veniez y goûter.

Rage : Et bien, ce sera avec plaisir. Ramènes moi aussi un tonnelet de ton meilleur hydromel !

Pendant que le tavernier s'affairait à remplir une grande auge de blanc de volailles, haricots mijotés et de cuisses bien roties, Rage pris la grande planche d'ardoise accrochée au desssus du comptoir. Il en effaça le texte et pris la craie blanche. S'appliquant du mieux possible, il écris

"Ah ceux qui entrent dans cette taverne, sachez que votre 1er verre est dorénavant gratuit. Moi, Rage, je m'y engage ! Frères des Fils de Feanor et amis d'Almenor, je lève mon verre à la gloire de nos guildes"

De retour, le tavernier déposa la commande devant son client préféré, lis le message et souris

Tavernier : Avec ça, les affaires vont bien marcher

Rage : Y a intérêt !

Il croqua dans la cuisse de cochon grillé à pleines dents, buva une grande gorgée de bière fraîche. Rage retrouva enfin la sérénnité des maîtres de guildes

Ayant entendu l'appel du Sieur Rage, je me suis précipiter vers cette taverne au nom fort attrayant (lol).
Je m'installa à une table et commenda :

G: Tavernier, un tonneau de biere je vous prie.

T: Pour vous tout seul maitre nain ?

G: Tu vois d'autre personne là ?

T : bah...non

G: Donc pour moi tout seul

Un homme entra en trombe dans l'auberge se précipita vers le comptoir et se pencha au-dessus si précipitamment qu'on aurait cru qu'il allait donner un grand coup de tête sur le bar. Il fixa le barman d'un regard exalté et se mit à hurler :

- Allez barman, à boire pour tout le monde !!!!!
Aujourd'hui je fête mon admission parmi toutes ces braves gens, alors ne lésine pas sur la bibine !!!!!

Midas regarde partir le maître de la guilde, n'ayant pas bougé d'un pouce depuis son entrée.

-Oah la claaaasse.... pensa-t-il avant de se ressaisir.
Bon, c'est pas tout ça mais j'ai soif moi !!! Pis à force d'être crispé de voir Sieur Rage je me suis fait une vilaine crampe aux fesses...
Quelqu'un pour un massage ???
Allez tavernier, vous auriez pas une boisson qui pourrait me détendre assez pour me faire oublier mes ptits soucis musculaires ?? C'est qu'à force de parcourir les routes on fatigue, quand même !! Et pas de drogues, hein, sinon ca va pas aller entre nous.
Juste un peu de tord-boyaux, ce sera très bien.

-Je vais vous trouvez ça, répondit le barman, mais je vous préviens que si vous vous mettez à faire l'andouille je vous sors d'ici !

AkrO: sur son cheval rencontra spirito et lui demmenda ou il se renda

spirito: lui repondis je part chercher l'armure des dieux

akro: tout seul

spirito: oui je doit etre rentrer avant la nuit

akrO: mail il y a de la route monte avec moi je t'accompagne

spirito: c'est gentil mon amis

akrO: aller finit de parlé ta une armure a aller cherche

Galaan entra et comme d'habitude il fut bien accueilli. Maintenant on le connaissait au "Nain boiteux et foireux". On l'installait tout de suite à une table et on lui servait sans attendre un verre de son hydromel favori. Mais cette fois-ci, il déclina avec un sourire l'invitation du tavernier et s'avança jusqu'au comptoir.
- Merci tavernier, mais aujourd'hui, je viens - il haussa soudainement la voix - pour payer une double tournée générale ! ! !

Tous les regards se tournèrent vers lui et on leva son verre en l'acclamant. Le tavernier se frotta les mains et se précipita derrière le comptoir pour se mettre à l'ouvrage. Les clients se pressèrent autour du Commandeur. On se bouscula au comptoir pour saisir l'une des nombreuses choppes que le tavernier, affichant une mine réjouie, et comptant déjà mentalement les bénéfices de la visite de Galaan, se dépêchait de remplir.
- Commandeur, que fêtons-nous ? demanda quelqu'un.
Galaan leva son verre, et on fit silence autour de lui.
- Je lève mon premier verre aux Fils de Feanor, afin de fêter dignement leur 10ème place au classement officiel des tournois du pays d'Aris !
Tous les clients, sympathisants ou membres de la guilde en question, levèrent à nouveau leurs verres en acclamant les fils de Feanor et leur seigneur Rage.
Galaan hocha la tête.
- Oui, longue vie aux fils de Feanor, et au seigneur Rage !... C'est lui qui est venu en personne nous annoncer la nouvelle... Amicalement, il nous a bien nargué quand il est passé devant nous au classement des joutes !
On rit de bon coeur autour de Galaan, puis celui ci vida son verre d'un trait, le posa sur le comptoir, s'empara d'une choppe bien pleine et la leva.
- Et maintenant, deuxième tournée générale !... Nous portons un toast à la guilde des réfugiés d'Alménor !... et savez-vous pourquoi mes amis ?
Le ton baissa à nouveau autour de lui. Amusé, Galaan fit durer le plaisir quelques instants avant de reprendre.
- Eh bien... La guilde Almenor est à présent classée 7ème... Nous avons dépassé les Fils de Feanor... A notre tour de narguer gentiment le seigneur Rage !

On éclata de rire autour de lui. Galaan serra quelques mains et tapa du plat de la main quelques épaules. Puis il partit s'assoir à sa table habituelle, près de l'âtre. Et la soirée se poursuivit dans la bonne humeur générale...

Rang Karnhaj pousse tranquillement les portes de la grouillante taverne et s'avance à grands pas vers le comptoir et lance à l'encontre du tenancier déja pas mal occupé un retentissant :

Holà Messire Tavernier perce donc un fut de ton meilleur breuvage ! J'ai l'honneur d'être maintenant des vôtres et que nous sommes sur le point de rejoindre voir de dépasser la "friendly team" ! Donc hardis les gars, au boulot : buvons jusqu'à plus soif et allons fracasser du monstre !!!

Sa tirade finie, Rang balance une pleine bourse de pièces d'or sur le comptoir, lançant le signal d'un service qui finirait très tard le soir...

Rage, de nouveau très affairé dans la plus haute tour du fort des Fils de Feanor, avait du mal à se concentrer. Des rires, tintements de verres, des pièces qui tombaient par terre, des grandes claques dans le dos. La taverne était joyeuse...

Rage : Et bien... Malgré que la taverne soit si loin de notre fort, je sens comme une émulation. J'espère que ce n'est pas encore Guerarteuh qui a encore cassé une table. je vais jeter un œil

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Il laissa tomber la paperasse, et fila comme le vent voir son nain préféré (celui de la taverne, pas ceux d'Almenor )

Rage : Bah alors ? C’est quoi ce boxon ? On picole sans moi ? J'essaie de bosser moi

C'est alors qu'il vit Galaan entouré d'une foule de guerriers et autres manants. Non loin, Rang Karnhaj dansait, quasiment nu, sur le comptoir en chantant des chansons paillardes et autres insanités.

Rage : Oh mec ! Descends de là ! C'est toi Rang Karnhaj ?

Rang Karnhaj, remontant son pantalon et sautant sur le sol : Salutations. Oui c'est bien moi. Désolé de me présenter dans cet état, mais je fête mon arrivée au sein des Fils de Feanor. Tu dois connaître cette puissante guilde je suppose ?

Rage : Oui, je connais un peu ...

Rang Karnhaj : Je te paie un verre ?

Rage : Roule ma poule !

Rang Karnhaj : Et je peux savoir qui tu es ? Je ne veux pas te mettre en garde mais bien que l'ambiance soit joyeuse, cette taverne concentre tout un tas de guerriers puissants et parfois pas commodes. J'ai même entendu parler d'un demi-orque qui à chaque passage vidait toute la réserve ! Et puis si tu regardes de ce côté, tu verras le sieur Galaan, maître de la confrérie d'Almenor. Ils viennent de passer 7ème aux joutes d'Aris !

Rage : Ouais ouais je suis au courant. Je le connais bien... Tu m’attends, je vais lui causer un peu

Traversant la foule, renversant au passage le tavernier chargé de verres ("oups pardon chef ! Je t'avais pas vu... font chier ces nains à se fourrer dans nos pates") et arrivant enfin devant Galaan, demanda silence. A la surprise de Rang Karnhaj qui observait la scène de loin, le silence se fit dans la seconde.

Rage : Cher Galaan, j'ai appris pour la nouvelle...

Une tension palpable flottait dans l'air. Le silence se nourrissait de l'inquiétude de la populace. "Si ces deux là dégainent l'épée, c'en est fini de ma taverne. Ils vont tout ruiner !" se disait le tavernier.
Finalement, Rage pris la chaise en face de Galaan, qui ne détournait pas le regard. Il attrapa une énorme chope et trinqua avec le guerrier Rage. Bien évidemment, Galaan savait très bien que Rage se la jouait un peu, juste pour avoir une chaise plus facilement et taper une pinte gratis.

Rage : Je lève mon verre à la confrérie d'Almenor et aux Fils de Feanor. Puisse nos 2 guildes exister jusqu'à l'infini.

Et il s'enfila une rasade comme seuls les vrais combattants savent le faire...

Au fond, la nouvelle lame des Fils de Feanor venait de comprendre

Rang Karnhaj : Puréeeeee... C'est maître Rage. On m'avait bien dis qu'il venait de temps en temps mais je pensais pas qu'il picolait comme ça. Je vais aller les rejoindre.

La soirée dura longtemps. Tour à tour, Rage, Rang et Galaan, s'offraient tournée sur tournée. De temps à autre, un compagnon passait vidant un ou 2 tonneaux avec les maîtres de guildes. Cette soirée resta dans la légende. 2 guildes amis dans le top 10 des joutes d'Aris, ça se fête !

Après son 3ème tonnelet de bière, Midas commençait à se sentir d'humeur encore plus fêtarde que d'habitude.

-Bon, ça manque un peu de musique, là !!!! Quelqu'un saurait nous jouer d'un instrument ???
-Moi, je sais péter avec mes dessous de bras, fit un badaud à sa gauche en tirant sur sa manche.
Et Pan !! Une mandale.
Le silence se fit dans la salle et tout le monde le regarda.

-Quelqu'un d'autre...
-Midas, je t'avais prévenu de ne pas faire le pitre !!!! coupa le tavernier.
-Oui, pardon, désolé, ca m'a échappé, fit-il soudain honteux de s'être emporté, je vais le réveiller vous pourriez m'apporter de l'eau ??

Le barman lui apporta ce qu'il demandait, autour d'eux la soirée reprenait. Ils versèrent un seau d'eau sur l'homme inconsient et quand celui-ci réalisa que c'était de l'eau il se mit à hurler et se rua hors de la taverne en proférant d'inintelligibles paroles (houlà, l'alcool me monte à la tête et j'écris n'importe quoi ). Midas et le tavernier restèrent immobiles quelques secondes, puis se regardèrent, interloqués.

-Pauvre homme. Bon, donc vous vouliez un truc un peu plus fort ?? fit le maître des lieux.
-Et ben c'est pas trop tôt !!!!! répondit Midas en lui donnant une grande tape dans le dos, et les Dieux savent qu'il faut se baisser (nain boiteux, je vous rappelle). Et tant pis pour la musique. Mais sers-m'en 2 choppes que j'aille en donner au pauvre bougre à qui tu as servi du soda tout à l'heure, il en a bien besoin je pense.

Il alla donc s'assoir à la même table que Soc et posa une choppe devant son hôte qui l'interrogea du regard.

-Je me présente, on m'appelle Midas, de la guilde des Fils de Fëanor. Le barman s'excuse pour le soda.

Soc sourit, prit sa choppe et ils trinquèrent. Soc cracha sa boisson et Midas en reçu une grande partie sur le visage. Soc éclata de rire avant de s'excuser.

-J'ai confondu avec le soda, désolé...

La porte claqua dans un grand bruit ...

Le son raisonna dans la grande pièce vide ... Une fois la poussière retombée, Guerarteuh pénétra dans la taverne où il ne retrouvait pas les odeurs habituelles.

Tavernier ??? TAVERNIER ! TA-VER-NIER !

du fond de la cuisine retentit le bruit d'un bout de bois frappé sur quelque chose de dur. Guerarteuh pénétra dans la cuisine et découvrit le tavernier assit dans un coin, sa prothèse dans la main en train de taper sur sa tête.

Personne plus personne personne ...... hein ... quoi ? un client !! non personne ...

le tavernier ne réagit même pas à a présence de l'immense guerrier couvert du sang des nombreux combats menés pur atteindre le cercle très fermé des 100 meilleurs guerriers de ce monde.

Guerarteuh sortit sans faire de bruit remonta sur son cheval et partit au galop vers la forteresse ...

Une ruelle sombre, une ombre avance, encapuchonnée laissant deviner une lame acérée, s’arrête devant une taverne.
Le nain boiteux et foireux, intéressant comme nom, murmure l’ombre qui entre, avance dans la grande salle, regarde l’assemblée présente. D’un mouvement du bras, abaisse la capuche qui dévoile une elfe, une chevelure grise argenté, des yeux sombres aux reflets métalliques. Elle s’avance jusqu’au comptoir en ignorant les regards des personnes présentent, cherche le maître des lieux, mais n’y trouve personne.

Entendant un bruit étrange venir des cuisines, elle s’approche de la porte de communication entrouverte, y vois un nain se frappé le crâne avec un morceau de bois, et l’entend se lamenter à voix basse.
Holà, maître tavernier, un repas et une choppe d’hydromel pour un ventre affamé, as-tu cela dans des placards ?
Peine perdu, le tavernier ne l’écoute pas. Elle réitère sa question d’une voix plus forte, toujours rien. Elle s’avance, touche son épaule et le secoue. Mais porter par son mouvement de balancier, tête morceau de bois, ajouté à la secousse, il s’effondre, gesticulant en tous sens comme une insecte qui se retrouve couché sur le dos.
Quoi ?… Quoi ! ?… Oh un client !, levant la tête pur voir son interlocuteur, en l’occurrence interlocutrice, yeux exorbités, bouche ouverte, de la salive s’en échappant, ne se tenant que sur une jambe, la deuxième, le morceau de bois se trouvant dans sa main.
Hum hum ! Un repas et une choppe d’hydromel ?
Oui… oui, bien sur, je dois avoir quelquechose qui me reste dans un coin, je vous apporte cela dans un instant !
Aussitôt dit, la jeune femme s’en retourne à la grande salle, s’installe à une table, en attendant son repas, elle jette un coup d’œil autour d’elle.

Pidralion arrivait enfin devant la taverne. Voulant faire
une entrée fracassante il mit un grand coup de pied dans la porte qui se révéla
être en acier. C'est donc en boitant comme un abruti et sous les regards
moqueurs des clients qu'il alla au comptoir. Là il commanda une grenadine ce
qui fit tellement rire son voisin qu'il du le calmer en lui fracassant le crâne
contre le comptoir (et oui on rigole pas avec la grenadine). Puis après avoir
demander un chiffon pour nettoyer les morceaux de cervelle sur son armure, Pidralion
offrit une tournée générale de grenadine pour fêter son entrée dans la guilde
que tout le monde fut ravie d’accepter surtout quand Pidralion commença à
sortir sa hache de bataille. A la bonne votre mes amis !

Ma foi ! l'ambiance est bonne, la grenadine excellente que demander de plus ! Si une choucroute !